Revue de presse
Une partition subtile.
Avec sa comédie sur les violences sexistes et sexuelles, mettant en parallèle, un collectif féministe, une policière infiltrée et un homme déconstruit injustement accusé de viol, Michel Leclerc signe un film qui tacle avec gourmandise le patriarcat.
Quant à la musique, créée par Grégoire Hetzel (compositeur attitré d’Arnaud Desplechin et de Mathieu Amalric), elle est un personnage à part entière. Le finale en est d’ailleurs exalté par de bouleversantes envolées qui disent sans trop l’appuyer toute la force, la beauté et la nécessité du lien.