Extrait
Revue de presse
Une farandole sans prétention
Une comédie tendre et bien troussée, bien dans la manière l’éternel « Grand Blond ».
Bien loin de l’oraison funèbre ou du film-testament, L’Homme qui a vu l’ours… est d’abord l’occasion de retrouver, bien vivant et gadins à l’appui, le personnage lunaire mais engagé qui, depuis Le Distrait, est une figure capitale du cinéma français.