Bande-Annonce
Revue de presse
Dans le paysage du cinéma français, le surnaturel est souvent très pesamment utilisé, sans aucune poésie, ce qui n’est pas le cas ici, Schoeller se réclamant d’ailleurs d’Edgar Allan Poe, de Henry James, et des œuvres fantastiques d’Oscar Wilde.
« Rembrandt » ne cesse d’interroger, de stimuler, envoûte même à son meilleur (élégantes séquences au musée). Aidé par la force d’incarnation des acteurs (...).